On a quand même un peu la bougeotte, et on nous attend près de
Marseille pour faire la fête alors nous voilà en route, à vélo
jusqu'à Arles puis en train jusqu'à Marseille. On se fait piéger
dans les salines de Frontignan : magnifiques paysages, mais
moustiques voraces et vase dans laquelle nous nous enlisons (le temps
de se faire croquer par une centaine de moustiques affamés qui ne
doivent pas voir souvent d'humains dans le coin, et de traîner
péniblement nos montures dont les roues et les gardes boues ne font
plus qu'un, unifiés par un gros bloc de boue. Tout de suite ça
roule moins bien…).
Marseille pue le pot d'échappement mais parmi les voitures plutôt
hostiles, un autre cycliste nous salue : nous ne sommes pas les
seuls à nous noircir les poumons !
Après un sympathique week-end pendant lequel on troque Cartahu
contre une tente sarcophage (histoire de relativiser au retour et de
se dire que, finalement, Cartahu n'est pas si bas de plafond :-D)
nous voilà de retour à Sète. On attend l'accalmie en bricolant, il
y a toujours de quoi faire sur une maison flottante.
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Les salines de Frontignan - avant le bain de vase agrémenté d'assaut de moustiques |
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Salines de Frontigna - au bout du caillebotis, la vase! |
Salut les huluberlus,
RépondreSupprimerNous sommes de Frontignan et nous ne connaissons pas ce caillebotis par contre pour les moustiques on y a eu droit aussi.