mardi 11 novembre 2014

Qui veut aller loin ménage sa monture (et enfourche un vélo)


On a quand même un peu la bougeotte, et on nous attend près de Marseille pour faire la fête alors nous voilà en route, à vélo jusqu'à Arles puis en train jusqu'à Marseille. On se fait piéger dans les salines de Frontignan : magnifiques paysages, mais moustiques voraces et vase dans laquelle nous nous enlisons (le temps de se faire croquer par une centaine de moustiques affamés qui ne doivent pas voir souvent d'humains dans le coin, et de traîner péniblement nos montures dont les roues et les gardes boues ne font plus qu'un, unifiés par un gros bloc de boue. Tout de suite ça roule moins bien…).
Marseille pue le pot d'échappement mais parmi les voitures plutôt hostiles, un autre cycliste nous salue : nous ne sommes pas les seuls à nous noircir les poumons !
Après un sympathique week-end pendant lequel on troque Cartahu contre une tente sarcophage (histoire de relativiser au retour et de se dire que, finalement, Cartahu n'est pas si bas de plafond :-D) nous voilà de retour à Sète. On attend l'accalmie en bricolant, il y a toujours de quoi faire sur une maison flottante.


Les salines de Frontignan - avant le bain de vase agrémenté d'assaut de moustiques

Salines de Frontigna - au bout du caillebotis, la vase!

1 commentaire:

  1. Salut les huluberlus,
    Nous sommes de Frontignan et nous ne connaissons pas ce caillebotis par contre pour les moustiques on y a eu droit aussi.

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